Survie France - Côté français, la dernière farce électorale gabonaise est une affaire pliée : « Les candidats ont considéré qu'il fallait que ça soit le Conseil constitutionnel, la Cour suprême qui proclame les résultats », a déclaré sans rire le Premier ministre français (Rfi, 30/10). Côté gabonais, Jean Ping, n'en revient (...)
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